J'arrive à Koh Phangan un jour de pluie, c'est tout triste une île sous la pluie.
Yao beach est une belle plage orientée ouest.
La mer attaque les fondations des resorts.
Une baie plus au sud, Secret beach qui est toute sauf secrète (affluence record au coucher du soleil).
Une baie encore plus au sud : certainement la plus belle plage de la côte ouest : Yao Hadd.
Mon premier sunset du voyage!
Délicieux dîner dans un resto tenu par un français ancien moniteur de plongée qui a bourlingué en Polynésie, Indonésie, Madagascar... avant de s'établir en Thaïlande.
Scooter loué 200B (5€) et quelques litres d'essence et c'est parti sur les routes bétonnées de Koh Phangan!
Les routes sont neuves et désertes : grisant de rouler dans ces conditions!
Au nord est, la plage , la plus belle plage de l'île et dans le top five des plus belles plages asiatiques.
Un croissant de sable entouré de montagnes.
Plage défigurée par un resort luxueux. Chaque bungalow donnant sur la plage a sa piscine!?!
Un porridge à l'ananas et je repars.
Port de pêche de Ban Tai au sud.
Surprise : combat de coqs !
Une lame est collée à chaque patte, collage au système D (scotch et superglue).
Le champion est emmené vers l'arène.
Présentation des combattants. La tension monte comme les enchères.
Cela crie dans tous les sens, public masculin.
Fin de combat en moins de 2/3 minutes en général.
Les coqs survivants sont nettoyés et réparés (couture).
A l'extérieur, des poissons à teneur garantie en mouches attendent les spectateurs.
Koh Phangan a son Moulin Rouge :-)
Au nord de l'île, je déguste une bonne baguette achetée au supermarché BigC (merci Casino).
La houle est très forte. Une impression de côte bretonne.
Au nord, la baie de Chaloklum.
Retour à Mae Hadd pour un dernier sunset.
Avec un vieux ferry Raja, vieux mais ponctuel.
Portrait du roi au travail à la gare de Surat Thani.
Arrivée à Bangkok au petit matin.
Nous quittons Bangkok...
...pour Chiang Mai via un vol Air Asia très ponctuel.
La mer n'a pas la couleur bleue des cartes postales...
Koh Phagan est plus petite que Koh Samui et surtout moins peuplée.
Une fois quitté Thongsala, la principale ville au sud ouest, c'est la montagne et la jungle dans toute l'île. Un côté sauvage qui attire beaucoup les français, premier groupe d'expatriés.
Certes, les plus belles plages sont recouvertes par des resorts notamment Thong Nai Pai Noi, la plus belle plage de l'île (un scandale!).
Néanmoins, l'île garde son authenticité (village de pêcheurs au nord, cocoteraies au centre, jungle...), les prix sont plus sage qu'à Koh Samui.
Ici, pas d'allemands ou de français tatoués bière à la main dans des bars à filles (je n'en n'ai pas vu).
Bref, c'est mon île préférée en Thaïlande.
Je pose d'abord mon sac à la plage Mae Hadd au nord ouest.
C'est un spot très connu pour le snorkeling.
Étant donné la tempête, pas de poissons et autres requins cette fois ci.
Mes bungalows donnent sur cette belle plage endommagée par la houle.
Les dégâts de la civilisation moderne.
Je quitte Mae Hadd pour Yao Hadd West plus au sud ouest.
Malheureusement peu large du fait de la montée des eaux.
Un resort où dormir : le superbe Seaflower bungalows idéalement placé.
La cuisine est délicieuse (Pad Thaï succulent) et me réconcilie avec la cuisine locale.
Mango smoothies avec mangue, lait de coco, lime et yaourt.
Le lendemain, journée tour de l'île en motorbike : parcours GPS en bleu.
Côté est : impressionnante jungle impénétrable.
Évidemment sous les nuages, ce n'est pas pareil...
Surprise : combat de coqs !
Mon 3eme après Ayacucho au Pérou et Ubud à Bali.
Ambiance fiévreuse comme au tiercé.
Les billets de 1000 B circulent de mains en mains.
Choix d'une plage où résider : Haad Khom au nord.
Petite, sauvage, bungalows les pieds dans l'eau (surtout en période de tempête!).
Les dégâts de la tempête...
Chaloklum : charmant village de pêcheurs.
Le lendemain, je quitte Koh Phangan sous la pluie, mais la mer est étonnamment calme.
Je remonte vers Bangkok via le train de nuit.
Astrid m'attend à l'aéroport domestique Don Mueang au nord de la ville.
Retrouvailles émues.
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